Au bout d’un chemin bordé de palmiers, dans le calme absolu, le Dejama Glamping Resort se dévoile comme un secret bien gardé. Ici, pas de réception bruyante ni d’architecture tape-à-l’œil. Juste sept hébergements, disséminés dans la végétation, entre herbes hautes, bananiers et chants d’oiseaux. Vous dormez sous une tente élégante au toit tendu, bercé par le souffle léger de la forêt. Le matin, la lumière filtre doucement à travers la toile, et les parfums d’herbes fraîches s’invitent jusque dans votre lit. Chaque tente dispose d’une salle de bain à ciel ouvert : une douche dans la lumière du matin, les pieds dans le sable, le regard levé vers les cocotiers. Le décor est brut, mais raffiné. Des matériaux locaux, du bois, de la pierre…
Ici, on vit au rythme du soleil, sans jamais renoncer au confort. La piscine, posée comme un écrin rafraichissant, invite à flotter sans penser à rien. Le jardin-potager alimente la cuisine du resort, où l’on savoure des assiettes colorées, inspirées des récoltes du jour. Le service est discret, presque complice, comme si l’on retrouvait des amis proches de la terre. Et puis, il y a le silence. Un silence vivant, fait de bruissements de la nature tropicale environnante et du murmure de la plage au loin. À Dejama, on ne fait pas grand-chose, si ce n’est l’essentiel : ralentir, ressentir et respirer. Vraiment. Et finalement, n’est-ce pas tout ce qu’on venait chercher ?